L’inquiétude suscitée par la pandémie ne nous a pas encore tout à fait quittés et une autre, plus forte apparaît déjà – l’appréhension de la guerre.
Écartons, au moins pour un moment cet effroi, en fêtant pleinement les Pâques. Soyons heureux de pouvoir passer cette fête auprès de nos proches car nos voisins que nous aidons aujourd’hui n’ont pas cette chance. Apprécions le fait que nous pouvons partager les aliments bénis à l’église avec toute notre famille et que nous pouvons serrer dans nos bras tous ceux que nous aimons.
Je souhaite à tous nos intervenants ainsi qu’à leurs familles beaucoup d’amour et la…paix.
Jerzy Kożuch